Le ministre a souligné l’importance de définir une structure globale pour une politique européenne de la santé. "Limiter la politique sanitaire à des actions isolées ne serait pas efficace", a déclaré le ministre.
Mars Di Bartolomeo a ensuite insisté sur la nécessité de coopération dans la lutte contre le sida. Les principaux adversaires sont l’insouciance des populations dans les pays d’Europe, l’indifférence par rapport aux pays les plus touchés, la pauvreté et l’oppression dans les pays en question. Le Luxembourg a l’intention de travailler parallèlement sur ces quatre axes, afin de présenter un relevé en juin 2005, a soulingé le ministre de la Santé.
Dans le cadre de la promotion des modes de vie saine, le ministre a mentionné la mise en place d’une plate-forme pour réagir au phénomène d’obésité infantile. Ce phénomène est actuellement discuté sous forme de tables rondes entre la Commission européenne et les différents acteurs concernés.