Étude sur l´état de la contamination du sang par des substances chimiques potentiellement toxiques

Lucien Lux, ministre de l’Environnement et président en exercice du Conseil "Environnement", a participé à une étude scientifique de Greenpeace visant à évaluer l’état de la contamination du sang par des substances chimiques potentiellement toxiques.

Le ministre a ainsi subi le 30 mars 2005 une prise de sang en vue d'y quantifier les substances chimiques dangereuses préalablement détectées dans les poussières domestiques.

Objectif de l'étude

L'étude s'inscrit dans le cadre de la Présidence luxembourgeoise de l'Union, qui a inscrit la réforme de la législation européenne sur les substances chimiques, intitulée REACH, au rang de ses priorités.

De récentes analyses menées par Greenpeace dans différents pays européens ont révélé la présence d’une contamination chimique généralisée de la poussière domestique des habitations. D’autres analyses scientifiques indiquent que ces mêmes substances dangereuses peuvent se retrouver dans une large variété de biens de consommation comme des produits textiles, des cosmétiques et des appareils électroniques. Les propriétés des substances retrouvées dans les habitations et les biens de consommation suggèrent qu’il est fortement possible qu’elles s’accumulent dans nos corps.

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