La ministre Mady Delvaux-Stehres à la présentation du rapport d'activité 2004 de l'INFPC

La ministre de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle, Mady Delvaux-Stehres, a assisté le 9 mai 2005 à une conférence de presse de l’Institut national pour le développement de la formation professionnelle continue (INFPC) portant sur le rapport d’activité 2004 de l’INFPC.

Outre la présentation du rapport d'activité 2004 de l'INFPC, la conférence de presse a permis d'aborder la perception de la formation professionnelle continue (FPC) ainsi que cette dernière au niveau de l’entreprise à travers l’analyse de la loi modifiée.

L’INFPC en 2004

Lors de la présentation des activités de l'Institut en 2004, les responsables de l'INFPC ont abordé les différentes mesures mises en oeuvre pour contribuer à la promotion de la loi modifiée du 22 juin 1999 (ayant pour objet le soutien et le développement de la formation professionnelle continue) et de la formation professionnelle continue:

L’évolution de l’activité de l’INFPC en matière d’instruction des demandes de cofinancement y a également été mise en exergue.

La perception de la formation professionnelle continue

Au mois de septembre 2004, l’INFPC avait chargé un cabinet d’études de réaliser une enquête destinée à établir un état des lieux de la perception et de l’attitude à l’égard de la FPC. Lors de la deuxième partie de la conférence de presse ont été présentés les résultats des interviews réalisées auprès de particuliers et de chefs d’entreprise.

La FPC au niveau de l’entreprise à travers l’analyse de la loi modifiée

Le premier volet de ce thème a été consacré à un bilan des demandes de cofinancement soumises par les entreprises au titre des candidatures 2003:

  • "Quelles sont les entreprises candidates?",
  • "Quelles entreprises investissent le plus en FPC?",
  • "Quels types d’entreprises sont les plus grands bénéficiaires de l’enveloppe publique?",
  • "Quel est le montant de l’intervention publique?"

Le second volet a montré l’évolution des demandes de cofinancement introduites depuis 2000:

  • "Peut-on observer une progression du nombre de demandes soumises par les entreprises?",
  • "L’investissement en formation est-il en augmentation ou en diminution?",
  • "Quelle est l’évolution du volume global de l’aide accordée par l’État?".

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