Journée internationale des victimes de la route

Comme chaque troisième dimanche au mois de novembre, la Journée mondiale du souvenir des victimes de la route a été commémorée le 20 novembre 2011.

En présence de Claude Wiseler, ministère du Développement durable et des Infrastructures, François Biltgen, ministre de la Justice, Georges Bach, député européen, et Paul Hammelmann, président de la Sécurité Routière asbl, cette journée a été observée pour la 18e fois à Medernach.

En dix ans, le nombre d'accidents mortels a été réduit de moitié. Sous la commission de circulation de l'État, un groupe de travail est chargé de cerner les axes les plus dangereux. Sur certaines de ces routes meurtrières, comme la N 7 entre Ettelbruck et Wemperhardt (Nord), des améliorations physiques ont été réalisées, a dit le ministre Claude Wiseler. Des arbres et des haies y ont été abattus et la vitesse y a pu être réduite. Claude Wiseler, comme l'ensemble des personnes présentes, a rappelé son objectif: faire en sorte, selon le livre blanc pour des routes sûres des Nations unies, que le taux des accidents graves tende vers zéro en 2050. Il a ajouté qu'à l'échelon national, un projet de loi sur le permis à points est dans sa phase finale et que l'objectif est de responsabiliser davantage les usagers de la route.

Jeannot Mersch, qui a également soutenu cette thèse, a réitéré sa demande de ne pas diminuer les efforts au niveau national. Continuer de responsabiliser l'automobiliste est une des revendications du directeur de l'Association des victimes de la route, tout comme la sécurisation des voitures et des routes et l'investigation des causes des accidents.

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