Étudiants en médecine de l'Université du Luxembourg: l'accès en 2e année de médecine dans les facultés de la Communauté française de Belgique est à nouveau garanti

Afin de rendre à nouveau possible l’accès en deuxième année de médecine dans les facultés de la Communauté française de Belgique des étudiants qui ont effectué une première année de médecine à l’Université du Luxembourg, le ministre François Biltgen et la secrétaire d’État Octavie Modert sont intervenus à d’itératives reprises auprès du gouvernement fédéral belge et auprès du gouvernement de la Communauté française de Belgique. Ces démarches viennent de s’avérer concluantes.

En date du 29 août 2006, Marie-Dominique Simonet, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et des Relations internationales, a confirmé au gouvernement luxembourgeois que le 20 juillet 2006, le gouvernement de la Communauté française de Belgique l’avait chargée d’établir un accord de coopération avec le Grand-Duché de Luxembourg en vue de permettre annuellement à 15 étudiants d’avoir accès en deuxième année du grade de bachelier en médecine en Communauté française, comme cela fut le cas dans le passé. Ces quinze étudiants seront répartis sur les différentes facultés concernées.

En date du 20 septembre 2006, Rudy Demotte, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, a donné à son tour l’accord de principe à la prise en compte, dans les quotas d’accès aux formations de médecin généraliste et de médecin spécialiste, de 15 étudiants ayant effectué leur première année de médecine à l’Université du Luxembourg.

La voie est désormais rouverte à l’accès en deuxième année de médecine dans une des facultés de la Communauté française de Belgique des étudiants en médecine de l’Université du Luxembourg.

Le ministère de la Culture, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en a informé l’Université du Luxembourg qui, dès cette rentrée académique 2006/2007, rouvrira en première année de médecine une section préparant à la poursuite des études en Communauté française de Belgique.

Les pourparlers quant à l’ouverture à des étudiants originaires du Grand-Duché de certaines autres filières continueront dans les mois à venir.

(communiqué par le ministère de la Culture, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche)

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