Jean Asselborn a participé à la réunion des ministres des Affaires européennes à Luxembourg

Le ministre des Affaires étrangères et européennes, Jean Asselborn, a participé à la réunion du Conseil des affaires générales, qui s'est tenue le 19 octobre 2021 à Luxembourg.

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    Entrevue avec les ministres du Benelux
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    (de g. à dr.) Jean Asselborn, ministre des Affaires étrangères et européennes ; Ana Paula Zacarias, secrétaire d'État aux Affaires européennes du Portugal ; Iulia Raluca Matei, secrétaire d'État aux Affaires européennes de la Roumanie
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    (de g. à dr.) Gasper Dovzan, secrétaire d'État au ministère des Affaires étrangères de la Slovénie ; Jean Asselborn, ministre des Affaires étrangères et européennes ; Judit Varga, ministre de la Justice de la Hongrie

En amont de la réunion, le ministre Asselborn a rencontré ses homologues belge et néerlandais, Sophie Wilmès et Ben Knapen, afin de faire le point sur les principaux sujets d'actualité européenne, dont notamment les questions liées à l'État de droit au sein de l'UE.

Le Conseil des affaires générales a préparé la réunion du Conseil européen des 21 et 22 octobre prochains. Dans ce contexte, les ministres des Affaires européennes ont notamment abordé les questions liées à la pandémie de COVID-19, au numérique, à l'énergie, et à la migration.

À la suite de cet échange, la présidence slovène du Conseil de l'UE a informé les ministres des Affaires européennes sur les derniers développements concernant la Conférence sur l'avenir de l'Europe.

Enfin, la réunion a été l'occasion pour les ministres d'avoir une discussion générale sur l'État de droit, sur base du rapport annuel préparé par la Commission européenne. Les pays du Benelux ont saisi l'occasion pour exprimer, dans une déclaration commune, leurs inquiétudes suite à l'arrêt rendu par le Tribunal constitutionnel polonais le 7 octobre mettant en cause la protection de l'indépendance judiciaire, voire l'ordre juridique européen dans son ensemble. Les pays du Benelux ont demandé à la Commission européenne d'examiner l'arrêt de près et, le cas échéant, d'avoir recours aux outils et mécanismes dont elle dispose pour protéger l'État de droit et pour garantir l'égalité des droits et la sécurité juridique dans l'Union.

Communiqué par le ministère des Affaires étrangères et européennes

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