Le Premier ministre Jean-Claude Juncker et la ministre des Affaires étrangères Lydie Polfer ont salué, le 10 avril 2003, les signes précurseurs de la fin du régime de Saddam Hussein.
"Je n’étais jamais en faveur de la guerre, nous n’étions jamais en faveur de la guerre, aussi sommes-nous heureux de constater l’approche de la fin de la guerre", a déclaré Jean-Claude Juncker aux micros des radios luxembourgeoises tout en rappelant qu’à son avis le désarmement du régime de Saddam Hussein aurait été possible par des moyens autres que militaires. En même temps il a exprimé l’espoir de voir ainsi enfin se terminer les souffrances de nombreuses personnes impliquées malgré elles dans cette guerre.
Jean-Claude Juncker a rappelé dans ce même contexte la position du gouvernement luxembourgeois qui appuie une renaissance aussi rapide que possible de l’approche internationale et multilatérale en matière d'Irak. Le Premier ministre luxembourgeois a insisté sur le rôle central qui devrait revenir à l'organisation des Nations unies dans les efforts de reconstruction de l'Irak.