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Mois européen de la photographie 2015 Vernissage de deux expositions au CNA: "Dalston Anatomy" de Lorenzo Vitturi et "Personne ne croit que je suis vivant" d’Alexandra Catiere
Le CNA invite au vernissage de deux expositions au Pomhouse, le 25 avril 2015 à 12h00:
- "Dalston Anatomy" de Lorenzo Vitturi et
- "Personne ne croit que je suis vivant" d’Alexandra Catiere
En présence d’Alexandra Catiere et des curateurs Francesca Seravalle et Paul Cottin.
Lorenzo Vitturi: "Dalston Anatomy"
Exposition du 25 avril au 21 juin 2015, au Pomhouse (CNA)
"Dalston Anatomy" est une ode visuelle à Dalston et à la singularité de ce quartier où différentes cultures s’entremêlent dans une célébration de la vie, de la diversité et d’une irréfrénable énergie. Le projet a jailli du besoin irrépressible de Vitturi de sauvegarder et de saisir la nature caractéristique du marché de Ridley Road à Dalston, dans l’Est de Londres, avant que la gentrification ne le rende méconnaissable. Il naît une exposition sur plusieurs strates, où les images jouent avec l’espace, avec les objets, avec les matériaux bruts, la poussière et les peluches.
"Dalston Anatomy" a été sélectionné en 2013 pour le "Paris Photo – Aperture Foundation Photo- Book Awards" et exposé en même temps au FOAM à Amsterdam. "Dalston Anatomy" a récemment été montré à la Photographers Gallery à Londres, à Yossi Milo Gallery à New York, et au Contact Photography Festival à Toronto.
Alexandra Catiere: "Personne ne croit que je suis vivant"
Exposition du 25 avril au 6 septembre 2015, au Display01 (CNA)
Dans "Personne ne croit que je suis vivant", Alexandra Catiere se confronte à l’absence, à une présence qui ne peut plus être, dans un état d’instabilité où les temps se superposent, se confondent,s’entremêlent. Ses photographies n’ont pas de présent, elles nous invitent à mettre à distance notre quotidien qui devient soudain trivial et trop convenu.
La force de son travail est de nous mettre face à nous même, à l’autre, dans une altérité qui ne se veut ni obligeante, ni péremptoire. Elle nous confie son regard, comme une invitation à ne plus détourner les yeux.