Signature d'une convention de recherche entre le ministère des Transports, les CFL, l'Université et le CESIJE sur le rapport des jeunes aux transports publics

Le ministère des Transports, les CFL, l’Université du Luxembourg et le Centre d’études sur la situation des jeunes en Europe ont signé le 3 octobre 2007 une convention de recherche au ministère des Transports qui porte sur le rapport des jeunes aux transports publics.

Le train et le bus: pour ou contre? Le rapport des jeunes aux transports publics

Le projet se propose d’étudier les choix des jeunes concernant leurs moyens de transports et notamment leurs motifs et arguments avancés en faveur ou défaveur des transports publics. Il s'agit de peindre une image globale du rapport des jeunes aux transports publics et de préciser la signification de ceux-ci dans la vie des jeunes. Un des aboutissements du projet sera entre autres la proposition de pistes d’action en vue d’une meilleure adéquation du transport public aux besoins des jeunes.

Ont signé pour les partenaires financiers: Lucien Lux, ministre des Transports, et Jeannot Waringo, président du Conseil d’administration de la Société nationale des chemins de fer luxembourgeois (CFL). Pour les partenaires scientifiques: Rolf Tarrach, recteur de l’Université du Luxembourg, et Charles Berg, assistant-professeur à l’Université et président du conseil d’administration du Centre d’études sur la situation des jeunes en Europe (CESIJE).

Le projet comporte deux enjeux majeurs: déterminer et, le cas échéant, surmonter le clivage entre offre et demande des transports publics. Le projet vise aussi à comprendre et à surmonter l'apparente contradiction entre une prise de conscience écologique de plus en plus générale qui n’aurait pourtant que des retombées réduites au niveau individuel.

Le projet débutera le 3 décembre 2007 et aura une durée de 13 mois pendant laquelle une équipe de chercheurs de l'Université du Luxembourg (Faculté des lettres, des sciences humaines, des arts et des sciences de l’éducation - Unité de recherche INSIDE/CESIJE) travaillera sur le projet. Le coût du projet s’élève à environ 131.000 euros. À ce montant s'ajoutent les frais de coordination repris par l'Université du Luxembourg. Le ministère de la Famille et de l’Intégration contribue aux frais de fonctionnement.

Dernière mise à jour