François Hollande, président de la République française, la Haute Représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Federica Mogherini, et Xavier Bettel, Premier ministre
Taavi Roivas, Premier ministre de la République d'Estonie, Dalia Grybauskaitè, présidente de la République de Lituanie et Xavier Bettel, Premier ministre.
Xavier Bettel, Premier ministre, ministre d'Etat; Laimdota Staujuma, Premier ministre de la République de Lettonie, et David Cameron, Premier ministre du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord
Taavi Roivas, Premier ministre de la République d'Estonie, Dalia Grybauskaitè, présidente de la République de Lituanie et Xavier Bettel, Premier ministre.
Le Premier ministre Xavier Bettel a participé au Conseil européen le 15 octobre 2015 à Bruxelles.
Sous la présidence de Donald Tusk, ce Conseil européen d’octobre était en majeure partie consacré à la question des migrations. Les discussions des chefs d’État ou de gouvernement ont eu lieu dans la suite de leur réunion informelle du 23 septembre 2015, de même que des conclusions du Conseil "Justice et affaires intérieures" des 8 et 9 octobre 2015 et des conclusions du Conseil des affaires étrangères du 12 octobre 2015. Les dirigeants européens ont également entamé la préparation du sommet de La Valette et ont fait le suivi de la conférence à haut niveau sur la route de la Méditerranée orientale et des Balkans occidentaux.
Les conclusions adoptées à l’issue du Conseil européen font état des relations avec les pays tiers dans le contexte des migrations, mettent l’accent sur un renforcement de la protection des frontières extérieures de l’Union européenne, et mentionnent la gestion des arrivées des flux migratoires en Europe ainsi que les politiques de retour.
Le Conseil européen a eu une discussion approfondie sur les relations entre l’Union européenne et la Turquie. Cette discussion s’est tenue dans le contexte des négociations entre la Commission européenne et les autorités turques qui ont eu lieu la même semaine. À la suite de leur discussion, les chefs d’État ou de gouvernement ont pu marquer leur accord au "EU-Turkey Joint Action Plan", de sorte à ce que la Commission européenne puisse rapidement entamer les travaux qui en résultent.
Les dirigeants européens ont également faire le point sur les discussions sur l'Union économique et monétaire, de même que sur le référendum au Royaume-Uni.
