Programme de François Bausch à la COP26 à Glasgow

Dans le cadre de sa fonction de ministre de la Mobilité et des Travaux publics, François Bausch interviendra à plusieurs évènements pendant la 2e semaine de la COP26 à Glasgow:

  • Le 9 novembre de 15 à 17 heures (GMT), François Bausch assistera à une conférence des ministres des Transports sur invitation du secrétaire d'État britannique Grant Shapps.
  • Le 10 novembre à 10h45 GMT,  dans la plénière, François Bausch assistera à la présentation d'un mémoire d'entente signé préalablement par lui pour le Luxembourg. Ce mémoire d'entente, qui préconise une ambition collective d'accélérer l'intégration de poids lourds et moyens à zéro émission (ZE-MHDV: Zero-Emission Medium- and Heavy-Duty Vehicles) dans les nouvelles flottes. En effet, le transport routier est une source importante d'émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale, dont plus particulièrement les poids lourds et moyens. Le mémoire d'entente vise à assurer dans ce secteur une transition rapide vers des véhicules à zéro émission de roulement.
  • Le 10 novembre de 16h45 à 17h45 (GMT), au pavillon MDB (PV28), le ministre est un des invités de la table ronde "Climate-smart Mobility: Where to Invest?" initiée par Riccardo Puliti, vice-président en charge des Infrastructures de la Banque mondiale.
  • Le 11 novembre à 12h30 (GMT), au pavillon Benelux/BEI, le ministre interviendra à une table ronde co-sponsorisée par le ministère de la Mobilité et des Travaux publics (MMTP) et le World Resources Institute ayant comme thème "Climate and Transport: What's needed and how to get there" et se tiendra au pavillon Benelux-BEI. Alors que le monde reconnaît l'urgence de la décarbonisation, les discussions internationales sur la décarbonisation du secteur des transports se focalisent sur les véhicules électriques. La table ronde mettra l'accent sur la nécessité de changer simultanément la motorisation et la mobilité, que le ministre Bausch met en œuvre au Luxembourg. Cette approche et ses résultats peuvent intéresser d'autres pays, notamment les pays en développement. En termes d'investissements, d'impact climatique, d'amélioration de la qualité de vie et de réduction des inégalités, ces pays devraient ne pas répéter l'erreur de développer d'abord tout un système de mobilité axé uniquement sur la voiture particulière, pour ensuite le démanteler progressivement à grand coût économique pour faire place aux transports en commun, à la marche et au vélo.

Communiqué par le ministère de la Mobilité et des Travaux publics

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