Interviews de fin d'année des membres du gouvernement

À la fin de l'année 2005, les membres du gouvernement luxembourgeois ont accordé une série d'interviews à la presse nationale et internationale sur le bilan de l'année 2005, marquée par la Présidence luxembourgeoise du Conseil de l'Union européenne, et sur les projets et perspectives pour l'année 2006.

Presse nationale

Dans un entretien avec la Revue, le Premier ministre fait un tour d'horizon des grands défis qui attendent le Luxembourg en 2006. Jean-Claude Juncker a ainsi abordé la situation économique et le budget des recettes et des dépenses de l'État pour 2006.


Le Premier ministre s'est prononcé dans une interview de fin d'année sur l'accord sur les perspectives financières de l'UE, la Constitution pour l'Europe, le budget des recettes et des dépenses de l'État pour 2006 et la Présidence luxembourgeoise du Conseil de l'Union européenne.


Dans l'interview de fin d'année avec RTL Télé et RTL Radio, le Premier ministre revient sur l'accord sur les perspectives financières de l'UE, la Constitution pour l'Europe, le budget des recettes et des dépenses de l'État pour 2006, l'évolution économique, le protocole de Kyoto et la nouvelle loi sur la procédure d'asile.


Dans l'interview de fin d'année avec la radio DNR, le Premier ministre a entamé les sujets suivants: le budget des recettes et des dépenses de l'État pour 2006, l'accord sur les perspectives financières de l'UE, la Constitution pour l'Europe, les négociations de la tripartite ferroviaire et la lutte contre le chômage.


Le ministre de l'Économie et du Commerce extérieur s'est prononcé dans une interview de fin d'année sur la croissance économique et la politique de diversification. Jeannot Krecké a également parlé du plan national pour l'innovation et le plein emploi et de ses missions de promotion économique.


Dans un entretien avec La Voix, le Premier ministre fait un tour d'horizon des grands défis qui attendent le Luxembourg en 2006. Jean-Claude Juncker a ainsi abordé la situation économique, l'immigration, la loi sur la retenue à la source libératoire sur les intérêts de certains produits d'épargne ainsi que le protocole de Kyoto.


Dans une contribution écrite parue au Tageblatt, le Premier ministre s'interroge sur la cohésion sociale au Luxembourg: "Soziale Kohäsion soll Bestand haben. Deshalb muss sie auf Dauer angelegt sein. Damit sie auch morgen noch für die wirksam sein kann, die sie brauchen werden. Über ihren dauerhaften Umbau im Interesse aller werden wir 2006 sprechen. In der Tripartite – denn sie ist die Fabrik der sozialen Kohäsion. In der Gesellschaft – denn für ihren Zusammenhalt ist sie wichtig."


Le rôle du Luxembourg au sein de l'Union européenne figure au centre d'une contribution écrite du ministre des Affaires étrangères parue au Tageblatt: "Unser Ratsvorsitz der EU in der ersten Hälfte des Jahres hat bewiesen, dass wir Luxemburger, zum elften Mal übrigens, es verstanden haben, die nationalen Interessen mit den Interessen Europas in Gleichklang zu bringen. Diese Interessensymbiose hat die EU in vielen Punkten vorangebracht."


Contribution écrite du ministre du Travail et de l'Emploi: "Es geht nicht um Abbruch, sondern um Umbruch, um Aufbruch eben. Unserem Land geht es nach wie vor gut, und es geht nicht um reines "Sparen". Nein, die Prioritäten werden neu gesetzt: Wir wollen neue wirtschaftliche Aktivitäten fördern, nicht nur, aber vor allem durch Forschung und universitäre Bildung. Erziehung, Bildung und Weiterbildung sind überhaupt unabdinglich, wenn mehr Mitbürger in Zukunft eine Chance auf einen Arbeitsplatz und auf eine gesellschaftliche Rolle erhalten sollen, wenn wir die Arbeitslosigkeit endlich wieder drücken wollen."


Au sujet des défis pour 2006, le ministre des Affaires étrangères et de l'Immigration se prononce dans une contribution écrite sur le modèle sociale luxembourgeois.


Dans une contribution écrite, le Premier ministre rappelle les défis pour 2006: "In Luxemburg selbst stehen nicht alle Zeichen auf Sturm, auch wenn man manchmal diesen Eindruck haben könnte. Wir haben ein Problem: Obwohl unsere Wirtschaft um vier Prozent wächst, haben wir ein Haushaltsdefizit von fast zwei Prozent. Wieso haben wir dieses Problem? Ganz einfach weil die öffentlichen Ausgaben schneller wachsen als die Wirtschaft und die Einnahmen".


Dans l'interview de fin d'année avec TTV, le ministre des Affaires étrangères revient sur la Présidence luxembourgeoise du Conseil de l'UE, l'accord sur les perspectives financières de l'UE, la Constitution pour l'Europe, l'adhésion de la Turqui à l'UE et la politique d'immigration.


Dans un entretien avec le "Lëtzebuerger Journal", le Premier ministre s'est prononcé sur le comité de coordination Tripartite, le site universitaire de l'Université du Luxembourg, l'accord sur les perspectives financières et la Constitution pour l'Europe.


Dans l'interview de fin d'année avec l'Eldoradio, le Premier ministre s'est prononcé sur l'Université de Luxembourg et la Constitution pour l'Europe.


Dans un entretien avec le "Lëtzebuerger Journal", le ministre des Affaires étrangères s'est exprimé sur le tsunami, les relations entre l'Union européenne et les États-Unis, la situation dans les Balkans occidentaux, les priorités de la politique étrangère et l'adhésion de la Turqui à l'UE.

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Presse internationale

Dans l'interview avec le quotidien belge "La Libre Belgique", le Premier ministre s'est prononcé sur la situation économique de l'Union européenne, l'accord sur les perspectives budgétaires pour la période 2007-2013, l'élargissement de l'UE et la Constitution pour l'Europe.


Dans l'interview avec le quotidien belge "Le Soir", le Premier ministre a présenté le bilan européen de l'année 2005 et s'est prononcé sur les Présidences luxembourgeoise et britannique du Conseil de l'UE ainsi que sur l'accord sur les perspectives financières. Au sujet de la Constitution pour l'Europe, Jean-Claude Juncker a estimé: "Je voudrais qu'en 2006 nous lancions, dans tous nos États, le débat européen. Et qu'en juin, nous en tirions les premières conclusions. Je crois que le traité renferme les réponses à la plupart des questions européennes qui se posent. Examinons quelles parties peuvent être appliquées par anticipation. Pour autant que cela ne signifie pas la mort du traité. Car je n'abandonne pas la vision constitutionnelle de l'Europe."


  • Contribution écrite de Jean-Claude Juncker publiée dans le Spiegel Jahres-Chronik: "Wir waren furchtbar naiv" (Spiegel Jahres-Chronik du 14-12-2005)

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